L’institut

Présentation de l'Institut

Présentation de l'Institut

L’Institut supérieur de la magistrature est un établissement public stratégique, doté de la personnalité morale et de l’indépendance financière, et est soumis à la tutelle de l’État et à son contrôle financier appliqué aux établissements publics.
L’Institut Supérieur de la Magistrature a parcouru un long chemin depuis sa création en 1962, alors qu’il portait alors le nom d’Institut National des Etudes Judiciaires, et il formait les magistrats de manière préparatoire et continue, avant que cette formation ne soit juridiquement confirmée en 1970, puisqu’elle est chargée de dispenser aux attachés de justice une formation théorique et scientifique qui les aide à exercer leurs fonctions devant les tribunaux et de compléter l’expérience des magistrats en exercice.
Depuis 2002, l’Institut Supérieur de la Magistrature a connu une profonde inflexion dans son parcours, commençant par la promulgation du Noble Dahir portant application de la loi relative à l’institut, et aboutissant à la mise en place des mécanismes de sa gestion par son conseil d’administration, notamment le régime interne de l’institut qui comprend le régime de la formation, de la formation continue, de la déontologie professionnelle, des droits et devoirs, le comité de discipline et diverses autres dispositions.
Les deux décisions conjointes des ministres de la Justice et des Finances concernant la restructuration de l’Institut supérieur de la magistrature et lui permettant de déterminer le montant de la rémunération pour générer des revenus en contrepartie des services qu’il rend à autrui ont eu un grand impact sur cette transformation profonde du cours de l’institut.
Depuis le début du troisième millénaire, l’Institut supérieur de la magistrature s’est inscrit dans les programmes successifs de réforme de la justice dans notre pays, alors que le ministère de la justice a défini une feuille de route pour la réforme de la justice et la modernisation de la justice Dans la société, en plus de l’inclusion du rédacteur de contrôle dans ce dispositif ambitieux.
Le plan de réforme a porté sur la remise en question des textes réglementant l’Institut supérieur de la magistrature, notamment les conditions d’accès à cette institution et à ses programmes de formation et d’enseignement, l’utilisation de méthodes pédagogiques modernes et efficaces, et l’ouverture de l’institut à ses acteurs internes et l’environnement extérieur et au champ socio-économique national et international, outre la réflexion sur la formation des magistrats, greffiers et auxiliaires de justice, et l’élévation de leur niveau sont des priorités de réforme.
Et si le Maroc a connu, depuis l’indépendance, un développement remarquable dans le domaine de la formation judiciaire, les récentes transformations dont le système judiciaire a été témoin depuis la dernière décennie, principalement représentées dans les amendements constitutionnels qui ont accéléré la mise en place de l’édifice de l’autorité judiciaire , aura un impact positif dans l’amélioration de la formation judiciaire et juridique et l’élévation du niveau d’efficacité judiciaire et juridique dans notre pays.

Discours du directeur général

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Stratégie de l'institut

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Les missions assignées à l'institut

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